Vous trouverez ci dessous le lien vers le récit de Simone
Auteur : raymond
Pour lire le détail de notre journée racontée par Marie-Noëlle et Jean-Charles cliquez ici :
cliquer ici pour lire le récit des aventuriers !!
Pour comprendre comment un séminaire de quatre jours chez les cousins bulgares passe par un arrêt prolongé à Sofia et une escale à Bucarest...
...continuer la lecture de "Un séminaire épique à Ivaylovgrad ou comment dormir à SOFIA"
L'année se termine en beauté pour le Chœur du jumelage !
En effet, cette année, pas moins de 3 concerts de Noël vous ont été proposés:
Le premier c'est nous qui l'avons organisé, comme tous les ans, dans l'église de Longueau dénommé les 8ème rencontres chorales de Noël (déjà)
Le deuxième concert a eu lieu à Ivaylovgrad : un moment de magie de Noël partagé avec nos cousins Bulgares ! (cliquer sur le lien pour les détails)
2024 12 19 CR Ivaylovgrad
et, enfin le dernier, s'est déroulé le 19 décembre à L'église St Pierre à Amiens
Nous sommes prêts maintenant à affronter 2025 ! Notre premier concert aura lieu lors de notre AG le 15 mars prochain !
Pour info si vous souhaitez nous rejoindre rien de plus simple , nous répétons tous les vendredi soir de 17h à 19h.
contact : Gaële Moisset (cheffe de Chœur) 06 79 96 85 07
L’olympisme à porté des jeunes : Alajo
Nos voyages se font dans un esprit de découverte de nos villes jumelles mais aussi de leurs gastronomies et trésors touristiques.
En 2025, nos deux grandes sorties seront orientées en Avril vers la Bulgarie programme ci joint: 2024 07 19 Programme Bulgarie Avril 2025
Et en juillet une découverte SPA dans la région de Torun avec le programme ci joint: 2024 08 05 Séjour Spa en Pologne 2025
Il sera aussi proposé deux sorties culturelles en France:
L'Alsace jusque Mulhouse et la Cité du Train en Octobre,
Paris sa cathédrale avec sa crypte et la Sainte Chapelle suivant les possibilités en novembre ou décembre...
Bonjour à toutes et tous, merci d’être présents en ce jour de mauvais temps.
Je voudrais excuser quelques personnes déjà retenues par d’autres obligations, M. Gest Président d’Amiens Métropole, M. Ruffin député de la Somme, M. Haussoullier président du Département de la Somme, Mme Margaux DELETRE, Mme Laurie GRZECHNIK Consule Honoraire de Pologne, M. DEROGY, président de l’ESCL Omnisports.
Pourquoi cette fresque ??? J’ai souhaité à la suite de la recherche de photographies et de documents, organisée de concert avec le Collectif Polonia Hauts de France, finaliser le centenaire de l’arrivée massive des Polonais en France. Notez que les photographies et documents sont tous numérisés et classés de façon académique par une chercheuse de la faculté de Rennes. Ils seront transmis aux archives nationales polonaises de Varsovie et le Collectif compte en sortir une brochure. Vous pourrez en apprécier un des tryptiques créé pour présentation au public.
Après les diverses et nombreuses cérémonies organisées dans le Nord et le Pas de Calais qui ont accueilli la majorité des immigrants pour les travaux dans les mines, il m’est apparu nécessaire de commémorer les agriculteurs arrivés très nombreux en Picardie.
De quatre ans de combats, la France sort victorieuse mais exsangue : un million quatre cent mille morts, de nombreux mutilés inaptes à reprendre le travail. Le pays éprouve un besoin immédiat de main-d’œuvre supplémentaire. Vu l’importance de l’enjeu, l’Etat prend l’initiative de s’adresser aux gouvernements de pays alliés ou amis : la Pologne qui vient de renaître en tant qu’Etat indépendant, mais aussi l’Italie et la toute jeune Tchécoslovaquie.
Le 3 septembre 1919, Paris signe avec Varsovie une convention d’émigration/immigration. Des contrats de travail d’un an vont lier des ouvriers et ceux qui les engagent. La France obtient le droit d’effectuer le recrutement en Pologne même, dans des centres de regroupements ouverts à cet effet.
Administrateurs, personnel médical, représentants du patronat sont tous français. Les médecins chargés de la sélection éliminent les malades, les souffreteux. Des convois ferroviaires de 600 à 800 personnes mènent à travers l’Allemagne ceux qui ont été acceptés.
Par rapport à l’avant-guerre, la convention d’immigration introduit des clauses qui constituent un progrès. En particulier, les étrangers devront recevoir une rémunération égale à celle des nationaux de même catégorie. Ce principe trouve ses limites dans l’agriculture, surtout si le petit propriétaire exploitant ne se fait aider que d’un seul valet ou d’une seule domestique de ferme. Car tout est codifié : le salaire du vacher dépasse celui du bouvier, lui-même supérieur à celui de "l’homme à toute main" ; les garçons de 16 à 18 ans gagnent moins que les adultes et les femmes encore moins.
Dans les années 1920, environ 700 000 Polonais arrivent en France à la suite du recrutement fait directement en Pologne par la "Mission française pour le Recrutement de la Main d’œuvre en Pologne" puis à partir de 1924 par la société privée unique "Société Générale d’Immigration au service du patronat qui réalise de confortables bénéfices La première année les trains se forment à Varsovie, puis à Poznan et à partir de 1924 à Mysłowice en Haute Silésie. De l'autre côté, les travailleurs sont accueillis en Lorraine dans le "Dépôt de travailleurs étrangers de Toul", le passage obligé de la main d'œuvre polonaise en France. Dans un premier temps, il s'agit principalement de paysans sans formation autre qu'agricole, auxquels se rajoutent, à partir de 1922, des mineurs polonais formés en Allemagne.
En six ans, de 1920 à 1925 inclus, 72 000 ouvriers agricoles polonais (selon Janine Ponty) entrent officiellement en France, soit un tiers de tous ceux qui arrivent (les deux autres tiers sont affectés aux mines ou à l’industrie lourde). Si les Polonais affectés aux mines ou à l’industrie arrivent en train via l’Allemagne, les agriculteurs rassemblés à Poznan arrivent en bateau de Gdansk à Dunkerque ou en train via Berlin et Toul puis le train les emmène à Amiens...
L’historienne relate que sur presque tout le territoire, des régions de grande culture comme le Soissonnais aux terres pauvres du Massif central, leur vie est si pénible que, le contrat d’un an honoré, beaucoup se dirigent vers une des petites Pologne minières où, après l’isolement et les horaires infernaux qu’ils ont connu à la campagne, règne une atmosphère chaleureuse, de meilleurs salaires et des horaires fixes. Si bien, qu’au recensement général de la population de 1926 n’en totalise que 28 000, soit une énorme déperdition, liée à une mobilité incessante. Il faut donc sans cesse poursuivre le recrutement.
J’évoquerais rapidement le cas des familles Tworowski, Skora et Filipiak (tous parents) partis de Rzegocin, à côté de Poznan, qui ont transité via Gdansk pour venir œuvrer pour les deux premières à Guillaucourt avant de joindre les Charentes tandis que les Filipiak sont restés à Oignies en travaillant pour la mine.
La fresque, que vous découvrez, est l’œuvre d’un graffeur local dénommé Aubin qui a bien compris notre demande et je l’en remercie une nouvelle fois.
Après ce voyage en bateau et ou en train, nos ancêtres ont découvert des paysages ravagés par les durs combats qui ont refaçonnés villages et terres agricoles. Ces besogneux ont rendu les terres fécondes et il était de notre devoir de les remercier…
Mes remerciements vont aussi à la Fondation KADR, représentés ici par M. Maciej KOKOWSKA , ainsi qu’au ministère des Affaires Etrangères de la Pologne.
Je cède la parole à (M. OSZCAK Président du Collectif Polonia Hauts de France,
M. Ourdouillé Maire de Longueau, M. Szydlo Consul Général de l’Ambassade de Pologne à Paris, et à Maciej grâce à qui cela est possible…)
Séjour Bien – Etre à Naleczow du 8 au 15 juillet 2023
Lorsque mes collègues m’ont demandé ma destination de vacances en juillet 2023, je leur ai indiqué que ce sera la Pologne, un choix considéré par beaucoup comme INSOLITE. Effectivement, pour la grande majorité des participants à ce séjour, la Pologne était une découverte et quelle belle découverte !
Comme la Pologne est un grand pays avec de nombreux sites d’intérêt, notre voyage limité à une semaine nous a permis de visiter Varsovie et découvrir en partie le Sud-Est de la Petite Pologne tout en bénéficiant de soins personnalisés à la station thermale de Naleczow, la première ville jumelée avec Longueau.
Le tour de VARSOVIE nous a révélé une capitale imposante au passé certes douloureux mais tourné vers l’avenir, d’où un brillant mélange de styles architecturaux : sa vieille ville aux édifices gothiques soigneusement reconstruits côtoyant de gigantesques bâtiments soviétiques en béton armé et contemporains de verre et d’acier. Outre cette diversité architecturale, notons la présence de parcs dont le charmant parc Lazienki, composé de jardins soignés, d’un lac d’agrément et de clairières arborées qui abrite un bronze d’Art nouveau, le colossal monument à Chopin.
La visite de la ville jumelle NALECZOW, station thermale dans un écrin de nature, s’est faite de façon originale en voiture électrique dans une ambiance rétro où chacun a pu choisir son couvre-chef. De beaux clichés en souvenirs !
La semaine s’est déroulée par un mix soins et culture. Chaque participant a pu profiter de 3 soins tous les matins et, l’après-midi, les curistes se transformaient en vacanciers pour explorer les sites du Sud-Est de la Petite Pologne.
LUBLIN : son château avec la chapelle de la Sainte-Trinité entièrement décorée de fresques russo-byzantines, sa vieille ville avec ses demeures Renaissance et baroques et, aux alentours, l’émouvant et macabre centre de concentration de Majdanek qui a ravagé l’âme juive de Lublin longtemps surnommée « Jérusalem du royaume polonais ».
KOZLOWKA : sa résidence de magnat du baroque tardif, ancien siège des familles aristocratiques Bielinski et Zamoyski, actuellement l’un des palais les mieux conservés de Pologne.
ZAMOSC : au doux surnom de « Perle de la Renaissance » ou « Padoue du Nord », ville extraordinaire témoin quasi-intact de l’urbanisme du 16ème siècle et, à ce titre, inscrite au Patrimoine mondial depuis 1992.
KAZIMIERZ DOLNY : ville de charme au bord de la Vistule, repaire d’artistes et de libres penseurs, tout en musées et galeries d’art avec sa spécialité culinaire, le koguty, pain en forme de coq.
Je ne peux terminer ces quelques lignes sans une pensée pour un personnage haut en couleurs qui a failli me ravir mon mari pour en faire son apprenti : le forgeron de WOJCIECHOW !
Un grand merci également à notre guide accompagnatrice pendant tout ce beau voyage, Wioletta que nous aurons grand plaisir à revoir prochainement à Hénin Beaumont !
Claire FAUQUEMBERGUE
18 Mai 2023 : 9h30
• Accueil en Mairie par le Chœur du Jumelage qui interprétera les hymnes nationaux avec quelques chants de nos villes jumelles.
• Petit historique de Comité de Jumelage,
• Remise de trophées et de médailles,
• Départ pour le square de l’Europe en déambulation avec la Banda « The Peace Band »,
• Plantation d’un Ginkgo biloba, arbre aux 40 écus (Arbre de l’amitié)
• Retour vers la salle FERY pour la présentation des expositions des 20 années d’activités.
• Pot de l’amitié,
• De 12h00 à 14h00 : Repas (Cochon avec ses légumes) sur réservation uniquement voir au verso...
• Ouverture d’une buvette de 11h30 à 17h30...
De 14h00 à 17h30 :
Après midi :Thé dansant avec l’Ensemble Vibrations,
Entrée payante sur réservations 5€ avec une madeleine.
Le bar sera ouvert jusque 17h30.
Possibilités de découvrir avec les élus de nos villes jumelles : sur réservations
o Le 19 mai : un circuit Mers _ Le Tréport avec repas et balade en mer : 85 €
o Le 20 mai : Le circuit du souvenir avec guide et restauration au Mémorial de Péronne : 83€ ...continuer la lecture de "Les 20ans du Jumelage"